Témoignages

Reportages

– Handicap psychique


« La notion de handicap psychique, défendue notamment par l’UNAFAM (l’Union Nationale des Amis et Familles de Malades psychiques) a été retenue dans la loi du 11 février 2005, dite loi sur le handicap.

Le handicap psychique, secondaire à la maladie psychique, reste de cause inconnue à ce jour. Les capacités intellectuelles sont indemnes et peuvent évoluer de manière satisfaisante. C’est la possibilité de les utiliser qui est déficiente. Les symptômes sont instables, imprévisibles. La prise de médicaments est le plus souvent indispensable, associée à des techniques de soins visant à pallier, voire à réadapter les capacités à penser et à décider.

Le handicap psychique est la conséquence de diverses maladies :

  • Les psychoses et en particulier la schizophrénie,
  • Le trouble bipolaire,
  • Les troubles graves de la personnalité (personnalité border line par exemple),
  • Certains troubles névrotiques graves comme les TOC (Troubles Obsessionnels Compulsifs),
  • La maladie autistique,
  • Parfois aussi des pathologies comme les traumatismes crâniens, les pathologies vasculaires cérébrales et les maladies neurodégénératives ».

(Source : site internet de l’UNAFAM, www.unafam.org)

« Dans le handicap psychique, c’est l’organisation qui est en cause, comme l’organisation du temps, l’anticipation des conséquences d’un acte, la possibilité de communiquer de façon participative, de mémoriser, de concevoir les réactions des autres (…) associés à la non reconnaissance des troubles, au déni de la maladie ou des problèmes que rencontrent les personnes, à l’absence de participation sociale.

Cinq domaines de la vie courante sont à prendre en considération au quotidien pour évaluer l’importance du handicap. Il s’agit en particulier de la capacité à :

  • Prendre soin de soi,
  • Etablir des relations durables,
  • Se former et assurer une activité,
  • Se maintenir dans un logement,
  • Organiser une vie sociale et des loisirs.

(Source : site internet de l’UNAFAM, www.unafam.org, « Aider les familles et les malades psychiques »).

 

Écoute-famille : un espace de libre parole

Le service écoute-famille de l’Unafam offre un service d’écoute téléphonique par des psychologues cliniciens. Il s’adresse à toute personne ayant un proche vivant avec des troubles psychiques.

Cet accueil professionnel a pour but d’accompagner les interrogations et la réflexion, aidant ainsi les proches à trouver des ressources et à sortir de l’isolement. Une orientation vers les délégations départementales, les permanences au siège peut également être proposée.

Désormais, en plus des entretiens téléphoniques, le service met à disposition un service psychologique ponctuel offrant davantage de proximité : Lors des entretiens téléphoniques, les psychologues de l’Unafam peuvent proposer aux proches aidants confrontés à des difficultés particulières, un entretien vidéo par Skype dans un délai de 1 à 3 semaines afin de faire le bilan des actions qu’ils auront pu mettre en place au regard de leur situation. L’entretien dure environ 30 min.

 

Du lundi au vendredi de 9h à 13h et de 14h à 18h (appel non surtaxé) : 01 42 63 03 03 – ecoute-famille@unafam.org

 


Dans le Haut-Rhin

 

  • UNAFAM 68 – Union Nationale des Amis et Familles de malades Mentaux c/o GEM Les Ailes de l’Espoir – 4 avenue Robert Schuman 68100 Mulhouse – 06 25 83 47 90 – 68@unafam.org – www.unafam.org/haut-rhin
  • Association Schizo Espoir19, rue de Riedwihr 68000 Colmar – 03 89 57 64 28 – schizoespoir@gmail.com www.schizoespoir.com
  • CREHPSY GRAND EST – 56, Grand’Rue 68100 MULHOUSE – 03 89 51 39 08 – contact68@crehpsy-grandest.fr – www.crehpsy-grandest.fr

 


– Formation sur le handicap psychique

Union Départementale des Associations Familiales du Haut Rhin – 7 rue de l’Abbé Lemire – CS 30099 – 68 025 COLMAR Cedex
Nous contacter : 03 89 30 33 13 – maison.udaf68@gmail.com – Site internet : www.udaf68.fr
conception-réalisation Altacom